Charly Dodet s’est fixé pour objectif de défendre la langue française et l’illustrer au mieux de ses possibilités. Ancien journaliste professionnel, fondateur (en 1974) d’une section de l’Alliance Française et conférencier pendant trente-cinq ans, Charly Dodet va, en 2005, tenter de prolonger sa carrière d’écriture au quotidien par quelque chose de moins éphémère.
Son premier roman met en situation un enseignant en disponibilité, qui aime son métier et décide de s’en aller réfléchir à la meilleure façon de réorienter sa carrière… (Les Soleils de Cobourg). L’auteur découvre une nouvelle passion, dévorante, exaltante. Suivront « Le Verger », qui traite des villages-dortoirs d’il y a une trentaine d’années, « Ton parfum sur le tarmac » qui traduit notamment le destin tragique des Touareg et des Sahraouis, puis « L’escapade à Genève » dans lequel interviennent les dangers de la recherche sanguine à des fins non médicales, « Des galoches sur la Baltique », histoire authentique mais romancée qui conte le tragique destin d’un homme qui fête ses 20 ans en 1939… Et enfin « Un homme dans la grange » qui évoque les cauchemars des migrants.
Dans chacun de ses romans, il met en scène des gens ordinaires, qui rêvent du bonheur et d’une fraternité partagée, des gens qui ont un idéal et veulent le transmettre.
Début décembre, va sortir de presse le septième ouvrage de l’auteur condrusien : « Le temps qui passe est un voleur », un recueil de cent-vingt textes poétiques dédiés à la vie, l’amour, le retour au terroir, la fête, les rêves et les combats au quotidien…