Né à Vresse-sur-Semois en 1949, dès ses 14 ans, Guy Gilquin s’essaye déjà à l’écriture.
A 18 ans, il devient le correspondant local du journal « Vers l’Avenir ».
Peu d’événements à ce moment-là dans la vallée de la Semois. Sauf un : le vernissage mensuel d’artistes-peintres dans les Salons de José Chaidron, à la « Glycine », à Vresse.
L’auteur se devait donc de relater ces expositions très prisées bien au-delà de la région. D’autant plus qu’y exposaient des artistes de renom : Albert Raty, Marie Howet…
C’est donc en pur autodidacte qu’il se lance dans la critique artistique tant en province de Namur qu’en Luxembourg, où il collabore également avec « L’Avenir du Luxembourg ».
En 1972, José Chaidron lui offre la publication d’un opuscule « Du côté de Vresse » illustré par des linos de Bonaventure Fieullien.
S’en suivent : « Si tu savais, mon village » (1974) ; « Mariette Koch » (1975) ; « Albert Raty, peintre de Vresse, peintre de la Semois » (1976) ; « Gens d’Ardenne » (1980) ; « Marie Howet » (1989) ; « Milo Dardenne » (1990) ; « André Bosmans, peintre-paysan » (1993) ; « Albert Raty, Complément1 » (1997) ; « Benjamin Gourmet » (1998) ; « Milo, peintre et chasseur au pays Dardenne » (2005) ; « A l’ombre de mes saules, une enfance à Vresse-sur-Semois » (2023).